Le blog de kpouxdchineoh

23 Novembre 2015

Un soir au Bataclan j’ai vu des gens danser

Des cœurs palpitants et des corps enlacés

Y’avait de la folie, y’avait de l’insouciance

De cette envie de vivre belle jusqu’à l’insolence

Sous les projecteurs nos pieds bougeaient tous seuls

On chantait, on riait à s’en fendre la gueule

Et puis y’a eu c’pétard noyé dans les basses

Puis un puis deux puis trois on s’est dit qu’est-ce qui s’passe ?

J’étais dans la fosse, le mot porte bien son nom

Ils envoyaient la sauce, du rock et que du bon

Et quand j’me suis r’tourné j’sais plus à quel moment

Elle je l’ai vu tomber, la fille aux cheveux blonds

Je n’la connaissais pas j’me suis dit un malaise ?

Sauf qu’après elle un gars s’est écroulé d’sa chaise

Ce n’était qu’le début ça je l’ai vite compris

Et puis y’a eu les larmes, et puis y’a eu les cris

Alors j’ai fait le mort, au jeu pas vu pas pris

Dans ce corps à corps contre la folie

J’ai retenu mon souffle quand ils sont passés

Cette odeur de sang ça m’aurait fait gerber

Finalement ils m’ont eu, mais vous vous êtes debout

Alors bougez vos fesses, mes potos magnez-vous

Dépêchez-vous de vivre faites la nique à leurs guerres

Dahesh, Al Qaida faites leur vivre un enfer

Car qu’on soit black blanc beur

Chrétien ou musulman

On s’en bat les couilles et j’le dis sèrieusement

Car les mecs qu’on fait ça tu sais les djihadistes

Ils sont seuls face à nous, la France qui résiste.

Le blog de kpouxdchineoh

Un soir au Bataclan

Un soir au Bataclan j’ai vu des gens danser

Des cœurs palpitants et des corps enlacés

Y’avait de la folie, y’avait de l’insouciance

De cette envie de vivre belle jusqu’à l’insolence

Sous les projecteurs nos pieds bougeaient tous seuls

On chantait, on riait à s’en fendre la gueule

Et puis y’a eu c’pétard noyé dans les basses

Puis un puis deux puis trois on s’est dit qu’est-ce qui s’passe ?

J’étais dans la fosse, le mot porte bien son nom

Ils envoyaient la sauce, du rock et que du bon

Et quand j’me suis r’tourné j’sais plus à quel moment

Elle je l’ai vu tomber, la fille aux cheveux blonds

Je n’la connaissais pas j’me suis dit un malaise ?

Sauf qu’après elle un gars s’est écroulé d’sa chaise

Ce n’était qu’le début ça je l’ai vite compris

Et puis y’a eu les larmes, et puis y’a eu les cris

Alors j’ai fait le mort, au jeu pas vu pas pris

Dans ce corps à corps contre la folie

J’ai retenu mon souffle quand ils sont passés

Cette odeur de sang ça m’aurait fait gerber

Finalement ils m’ont eu, mais vous vous êtes debout

Alors bougez vos fesses, mes potos magnez-vous

Dépêchez-vous de vivre faites la nique à leurs guerres

Dahesh, Al Qaida faites leur vivre un enfer

Car qu’on soit black blanc beur

Chrétien ou musulman

On s’en bat les couilles et j’le dis sèrieusement

Car les mecs qu’on fait ça tu sais les djihadistes

Ils sont seuls face à nous, la France qui résiste.

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Un soir au Bataclan

Un soir au Bataclan j’ai vu des gens danser

Des cœurs palpitants et des corps enlacés

Y’avait de la folie, y’avait de l’insouciance

De cette envie de vivre belle jusqu’à l’insolence

Sous les projecteurs nos pieds bougeaient tous seuls

On chantait, on riait à s’en fendre la gueule

Et puis y’a eu c’pétard noyé dans les basses

Puis un puis deux puis trois on s’est dit qu’est-ce qui s’passe ?

J’étais dans la fosse, le mot porte bien son nom

Ils envoyaient la sauce, du rock et que du bon

Et quand j’me suis r’tourné j’sais plus à quel moment

Elle je l’ai vu tomber, la fille aux cheveux blonds

Je n’la connaissais pas j’me suis dit un malaise ?

Sauf qu’après elle un gars s’est écroulé d’sa chaise

Ce n’était qu’le début ça je l’ai vite compris

Et puis y’a eu les larmes, et puis y’a eu les cris

Alors j’ai fait le mort, au jeu pas vu pas pris

Dans ce corps à corps contre la folie

J’ai retenu mon souffle quand ils sont passés

Cette odeur de sang ça m’aurait fait gerber

Finalement ils m’ont eu, mais vous vous êtes debout

Alors bougez vos fesses, mes potos magnez-vous

Dépêchez-vous de vivre faites la nique à leurs guerres

Dahesh, Al Qaida faites leur vivre un enfer

Car qu’on soit black blanc beur

Chrétien ou musulman

On s’en bat les couilles et j’le dis sèrieusement

Car les mecs qu’on fait ça tu sais les djihadistes

Ils sont seuls face à nous, la France qui résiste.

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